Immobilier Genève – Le secteur immobilier du canton de Genève

En prenant en compte les annonces financiers (licenciements, expulsions…) encore retenus dans un état instable, le marché dans le Genevois ne peut pressentir une amélioration. Les derniers mois confirment un chiffre relativement faible de mises en vente, avec des coûts qui se maintiennent en Suisse avec les plus réduits. De manière générale, les surfaces dans l’ancien s’affiche encore parmi le plus réalisable.

Les acheteurs toujours mesurés

Les biens de plus de 3millions de CHF s’empilent depuis quatre ans dans les boutiques des offices spécialisées dans l’immobilier de prestige.

Le chef de file à Genève des transactions immobilières de luxe, avec plus de 30 filiales immobilières en Suisse, a réalisé un total d’opérations d’au moins 534.400.000 de Francs.

Le secteur traîne au sein des quartiers classes du centre de Genève. Le Genevois s’obstine cependant d’aguicher les plus fortunés qui pensent toujours au financement dans le secteur immobilier de prestige.

Avec 32 à près de 40 % de compromis consignées en 2011, avec des prix qui semblent réguliers dans le Genevois, pas de doute, la région de Genève a la cote !
« Dans l’immobilier, nous sommes revenus à un niveau de choix post crise et la révision qui s’était amorcée chez nous depuis 2011 s’est confirmée après 2005 », précise Me Gilles Martin, coutumier des analyses immobilières à la Chambre fédérale des agents immobiliers.

Les habitations ayant un maximum la côte correspondent aux logements les moins chers. Et dans le but de perfectionner ce concept d’opération, il est essentiel encore plus prioriser les habitats de taille faible.

Montants par rapport à la mise en vente d’une demeure dans le canton de Genève et du domaine de l’immobilier dans la région : Si le secteur immobilier montre des annonces de redémarrage avec une revalorisation des cessions, principalement des appartements anciens, les acheteurs ont le secteur et négocient les sommes au paroxysme.Les experts du secteur de l’immobilier d’entreprise, issus du monde entier pour le 24e Mipim de mardi à vendredi à Cannes, s’inquiètent de la menace d’une possible « bulle immobilière » car les banques restreignent leurs crédits en raison des nouvelles normes, dites de « Bâle III ».

La chute aux alentours de 63% des transactions de biens haut de gamme en 2008 a généré la cessation de 5632 agences mais également l’abandon de près de 10.600 affectations.
L’étendue des affaires devrait à coup sûr de nouveau fléchir d’avantage.

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